When life ends { A.S.U.N.A }

LIFE, MOON & DEATh

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Prologue

" Un jour la vie s'arrête, elle devient inutile et il est impossible d'oublier ce que quelqu'un a essayé de te faire lorsqu'il n'était encore qu'un corps sans âme ni cœur. Alors tu apprends réellement ce qu'est la souffrance mais tu ne peux pas te rappeler de la lumière que tu as vue est impossible. Car oui, même si tu meurs et que tu te rappelles de l'ombre, rien ne pourra te faire rappeler ce qui illuminait ta vie avant que le décès n'arrive te hanter. "

Le monde est triste, pitoyable et enveloppé sous une couche appelée "atmosphère". Au delà de cette protection, il est inclut qu'il y a encore pire que le monde réel. Mais après ça, après tout ce qui peut entourer notre monde, il y a le Magical Pensionnat. Un Pensionnat qui, enfin, accepte les personnes ayant des pouvoirs magiques. C'était une lumière dans la petite vie de Sasukiko qui a pourtant déjà 20 ans. Oui, elle fait beaucoup moins que son âge, on dirait qu'elle a 7 ans mais pourtant elle en a 13 de plus. Avoir une histoire sérieuse avec elle est impossible.

Ah ! Non ! J'ai encore oublié mon sac chez moi, je vais de nouveau arriver en retard au pensionnat, je vais me faire taper sur les doigts. J'ai pas envie de ça, je risque de pleurer. J'étais sur le chemin de l'école quand je m'apercevais que, pitoyablement et habituellement, j'avais oublié mon sac. Je déteste tout particulièrement oublier mon sac chez moi, je dois refaire le tour du bloc, marcher plus de 3km à pied et ensuite me retrouver à faire le retour vers l'école. Non, je ne suis pas fainéante, juste que ça commence à m'énerver que de faire trois fois le tour du quartier avant de pouvoir arriver en cours, à chaque fois je dois m'excuser auprès de mes élèves qui soupirent collectivement et commencent toute une discussion avant que je me mette en mode cours. Enfin... Je n'ai jamais eu de mode cours théorique, je suis plus dans la pratique qu'autre chose, moi, c'est mieux. Enfin, disons surtout que je n'ai aucune envie de faire quoi que ce soit aujourd'hui, je me suis un peu réveillée en fanfare et j'ai les cheveux en pétard. A force d'être en retard, j'en oublie de me coiffer, je suis tellement stressée, j'ai envie de faire du mieux que je le peux mais il n'y a aucune façon de régler ce problème ; je suis systématiquement en retard. De toutes façons, personne n'a jamais compris pourquoi je suis sans cesse en retard, on me le demande tout le temps et je prends deux heures avant de m'apercevoir qu'ayant enfin trouvé ma réponse -que j'oublie par la suite- l'élève ou le professeur m'ayant interrogé était déjà parti, par ennui envers ma tête d'air qui essaie de trouver quelque chose dans les dictionnaires qui parcourent ma tête. Même si je doute qu'ils soient forts remplis, je pense surtout que c'est de la mémoire que de se rappeler d'une chose. Oui, c'est de la mémoire puisque le verbe rappeler est mis dans la phrase. Oui ! Voilà, ça me revient. Dites-moi, ça fait beaucoup trop longtemps que je ne suis pas allée à l'école primaire moi... Enfin, disons que je n'ai pas vraiment envie de retrouver les mauvais souvenirs -et les bons bien entendu mais surtout les mauvais-. Ainsi, je rebroussais chemin vers ma maison comme si de rien n'était avant que quelqu'un ne me remarque. Oui, je n'aime pas montrer aux autres que je change de direction, ça ne fait pas assez sérieux pour un professeur. C'est ainsi que je suis un petit chat pour emprunter les mêmes chemins que lui et ne pas devoir me perdre. Oui, les chats rôdent tout près de ma maison donc c'est facile de m'y rendre une fois qu'ils sautillent jusque là -sautiller, sautiller, non en fait ce n'est pas tellement sautiller, c'est le verbe défiler qu'il aurait fallu utiliser-.

Après une heure, je me retrouvais à courir vers le pensionnat, je fus étonnée lorsque d'autres professeurs se dirigeaient pratiquement tous vers l'entrée comme s'ils n'étaient pas en retard. Je ralentis le rythme, mais je me remis directement à courir à nouveau pour rattraper un professeur et lui demander quelle heure il était. Après un moment de dévisagée totale dont il me faisait part, il me dit que j'avais oublié de passer à l'heure d'hiver. Je me suis mise à l'heure avec mes sottises, ça m'arrange. Au fond, même les mauvaises choses ont un bon côté si j'en tire une conclusion. Mais étant donné que je ne suis pas bonne en conclusion, on va directement passer à autre chose. J'entrais en classe avant tous mes élèves et commençais à sourire. Une fois la sonnerie tintante, ils entrèrent en classe et me voyaient délirer comme une imbécile. Après un moment, je "repris mes esprits" au sens propre du terme et donna mon cours comme à chaque fois. Habituellement, je repris mon sérieux lorsque nous étions passés à l'étape pratique. En réalité, tout le monde -y compris moi- déteste l'étape théorique, c'est pour cela qu'une fois la pratique abordée, tous les élèves se mettent à m'écouter -à me regarder plutôt-. La cloche sonna et les élèves sortirent de la salle pour laisser le calme régner. Je sortis après mes élèves, laissant mes papiers enfermés dans la salle de cours. Pauvres papiers, ils sont seuls dans cette salle. Passons, je ne veux pas pleurer pour ces papiers. Je sortis de la classe, laissant mes prochaines heures de cours vides. Car oui, je n'ai pas de cours après cette heure-ci un jour pareil. Je sortis du pensionnat, me dirigeant ainsi vers le cimetière. Aujourd'hui était le triste jour auquel je ne me permettrais pas de rater ; cela faisait un mois que mon professeur principal -de mes huit ans- était décédé.

Après un moment de trotte, je me retrouvais face à l'imposante grille sombre et terne du cimetière. J'approchais ma main doucement pour ensuite la placer sur un barreau de la grille, prenant de toute ma paume ce barreau métallique rouillé et mouillé. Je glissais ma main sur le long du barreau et poussa celui-ci pour ouvrir la grille secondaire qui se posait juste devant moi. M'avançant ainsi vers la tombe de mon ancien professeur, souhaitant ne pas être dérangée, je fermais les yeux, écouta le silence, comme un dernier aveu, une simple confidence.

▬ Désolée... Sensei.

les cours était enfin finie et tout le mondes était partie dans leur chambre ou leurs maison asuna elle était sortie de l'école non pas pour rentrer chez elle mais pour allez acheter des fleurs elle entra dans le magasin pour en acheter et en prit des blanche plus exactement des roses blanche elle n'ont prit qu'une qu'elle paya un peu chère précisément 3€ elle paya sans grogner et sortie du magasin en direction de la sortie de la ville au cimetière pendants le trajet elle se piqua avec une épine et saigna cela était élégants du sangs rouge sur une roses blanche mais passant elle arriva aux cimetière posa la roses sur une tombe cette tombe c'était celle de ses parents:morgana kagurazaka et nagi kagurazaka ,asuna s'assit devant la tombe en seiza (possision japonaise qui consiste a s'assoir sur ses talon) et resta silencieuse un bon moments puits elle finit par se relever pour partir et vis une professeur c'était la prof de combats elle s'approcha d'elle et ne dit rien pendant un moments a vrai dire il sembler que la dame ne l'avais pas remarquer alors elle regarda les plaque sur la tombe et entendu la professeur dire
▬ Désolée... Sensei.
asuna sourit et dit
il devait être un bon professeur pour que vous veniez a sa tombe n'est ce pas?

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